
Peu importe que vous ayez encore un utérus ou non, ou que vous ressentiez des douleurs particulières, chaque femme porte des enregistrements énergétiques qui peuvent influencer sa vie actuelle. Dès les premières menstruations, l’utérus commence à accumuler des expériences : blessures émotionnelles, schémas familiaux, mémoires transgénérationnelles et parfois même des empreintes de vies passées.
Le docteur Christian Flèche, expert en décodage biologique, affirme :
« L’utérus est un espace de mémoire cellulaire. Chaque choc émotionnel, chaque blessure relationnelle peut s’y imprimer sous forme de tensions ou de troubles gynécologiques. »
Ainsi, guérir son utérus ne signifie pas seulement apaiser des douleurs physiques, mais aussi libérer des blocages émotionnels et spirituels, afin de se reconnecter à sa puissance intérieure et d’incarner pleinement la Déesse qui sommeille en soi.
Les mémoires inscrites dans votre matrice
💜 Ovaire droit : Il conserve les blessures infligées par le masculin à travers le temps : trahisons, abus, oppressions… C’est ici que résident les peurs liées aux relations avec les hommes.
💜 Ovaire gauche : Il renferme l’archétype de la femme que vous avez incarnée au fil des vies. Une femme soumise, indépendante, guerrière, effacée ? Ce modèle influence encore aujourd’hui votre manière d’être et d’aimer.
💜 Trompes de Fallope : Elles sont le pont entre l’ombre et la lumière. Elles contiennent les mémoires qui freinent l’expression de votre plein potentiel divin.
💜 Col de l’utérus : Il garde les empreintes des silences forcés, des moments où vous n’avez pas osé parler par peur d’être rejetée, ridiculisée ou blessée.
Comme l’explique Aurélie Gourguechon, thérapeute en soin féminin sacré :
« Les émotions refoulées s’ancrent dans notre ventre. Les libérer, c’est retrouver notre essence véritable. »
Ces mémoires sont inscrites profondément dans notre corps, et c’est seulement en les écoutant, en les honorant et en les libérant que nous pouvons nous reconnecter à notre véritable essence.
Des blessures ancestrales à transmuter
Nos ancêtres ont connu des épreuves bouleversantes : mariages forcés, violences, oppression du féminin… Certaines ont été réduites au silence, d’autres brûlées pour leur sagesse. Et même si aujourd’hui, nous vivons dans un monde plus libre, ces souffrances continuent d’exister sous forme de mémoires inconscientes.
Comme le dit la chamane Clarissa Pinkola Estés dans Femmes qui courent avec les loups :
« Nous portons en nous les âmes des femmes qui nous ont précédées. Lorsque nous guérissons, c’est toute une lignée qui guérit avec nous. »
Il ne s’agit pas seulement de se défaire des blessures du passé, mais aussi de réactiver en nous les dons et la sagesse de nos ancêtres. En libérant l’utérus, nous réveillons notre véritable pouvoir féminin et nous reconnectons à notre matrice intérieure.
C’est ce que j’ai vécu moi-même…
Mon chemin vers la réconciliation avec mon utérus
Lorsque j’ai appris que je devais faire le deuil de mes trompes, suite à une erreur médicale, mon premier réflexe aurait pu être la tristesse et la coupure avec mon corps. Mais quelque chose en moi a ressenti un appel profond à l’écoute et à la transformation.
J’ai médité comme me l’ont enseigné Luna Sylvie Bérubé et Nathalie, qui m’a accompagnée dans la pratique du Mouvement de Libération de la Cuirasse, avant et après mon opération. Grâce à ce travail corporel et énergétique, j’ai pu me réapproprier mon corps, accueillir mes émotions et lui offrir un nouvel espace de douceur et de guérison.
Un jour, dans le silence de ma pratique, mon utérus m’a révélé son nom :
💜 UCLEVIA 💜
À cet instant, j’ai compris qu’il n’était pas seulement un organe, mais une présence, une conscience vivante, qui porte en elle non seulement mon histoire, mais aussi celle de toutes les femmes avant et après moi.
Comme l’écrit Layne Redmond dans La Femme Tambour :
« Dans notre utérus résident les générations passées de nos grands-mères, et en lui se trouvent aussi les générations futures de nos petites-filles. Nous sommes les gardiennes de cette mémoire sacrée. »
Même après la perte de mes trompes, mon utérus reste un espace de création, un centre de vie énergétique et spirituelle. Il m’a enseigné que sa puissance dépasse sa simple fonction biologique et qu’il peut être une source infinie de transformation et de guidance.
Comment se reconnecter à son utérus sacré ?
✨ Prendre conscience : Honorez votre utérus comme un espace sacré et commencez à l’écouter. Ressentez ses messages subtils.
✨ Pratiques énergétiques : La méditation, le yoga du féminin, la danse intuitive ou encore les soins de l’utérus permettent d’harmoniser cette énergie.
✨ Transmission ancestrale : En envoyant amour et gratitude aux femmes de votre lignée, vous libérez non seulement votre propre histoire, mais aussi celle de vos ancêtres.
✨ Rituels de guérison : La « Bénédiction de l’utérus » est une pratique puissante pour rétablir l’équilibre énergétique et éveiller la Déesse en vous.
✨ Le 13ème Rite du Munay-Ki, que j’ai reçu et qui a renforcé cette connexion avec mon féminin sacré. (Vous pouvez en savoir plus sur ce rite ici
✨ L’acte d’amour envers soi : Se reconnecter à son corps avec bienveillance, douceur et puissance est une manière d’accueillir pleinement sa nature féminine.
Se souvenir et rayonner
Mon utérus, UCLEVIA, continue d’être un guide, une présence bienveillante qui me rappelle que mon ventre est un espace sacré, un lieu de transformation et de lumière.
Nous sommes toutes les gardiennes de notre utérus, qu’il soit encore physiquement présent ou non. En guérissant notre matrice intérieure, nous guérissons nos lignées passées et futures.
Comme le dit Lise Bourbeau, spécialiste en guérison émotionnelle :
« Notre corps nous parle sans cesse. À nous d’écouter ses murmures avant qu’ils ne deviennent des cris. »
🌿 Êtes-vous prêtes à écouter votre ventre et à honorer ce temple sacré ?