
Ce matin, je me pose des questions :
Quand ai-je oublié comment communiquer avec mon corps ?
L’ai-je appris dans cette vie ?
Comment faire ?
Je sais communiquer avec les éléments et recevoir leurs messages. J’ai appris à communiquer avec mes ancêtres, mes guides… mais avec mon corps ? J’ai appris l’importance de nos quatre corps : physique, mental, émotionnel et énergétique.
Actuellement, la spiritualité nous mène directement à l’émotionnel (c’est transgénérationnel, c’est karmique). J’ai même entendu cette phrase : « Qu’as-tu fait dans une autre vie pour avoir autant de merdes à vivre ? » Mais le corps physique, lui, est rarement entendu !
Je me souviens que lorsque mon premier mari, Fernand, est décédé, je me suis dit : « Trouve une solution sans médicament pour que cette période passe bien et que tu puisses être présente pour tes enfants. » J’ai suivi un développement chamanique de dix mois, je suis devenue maître reiki pour m’auto-guérir. J’ai appris à interpréter les rêves, à communiquer avec Fernand, à écouter mes émotions… mais mon corps, lui ? Mes cheveux sont devenus blancs en un mois, j’ai perdu mes dents ! Les racines de mon être ont été impactées par le choc de la mort de celui que j’aimais. Et les racines, dans le corps humain, sont logées dans la mâchoire ! Après des interventions chirurgicales avec implants et greffe d’os, je n’ai toujours pas appris à écouter mon corps.
Il y a neuf ans, lors d’un contrôle médical, le diagnostic d’un cancer du sein gauche est tombé comme la foudre. Ma première réaction a été de consulter le dictionnaire des maladies de Jacques Martel pour comprendre la symbolique. J’ai récité un mantra et dix jours après, à l’IRM, plus aucune trace de cellule cancéreuse. Cela a fonctionné pour décoder le message de mon corps.
Il y a quatre ans, lors d’une opération, mon cœur a bugué. J’ai été dans le coton durant huit mois, car mon corps physique a eu du mal à revenir. Là, rien dans le dictionnaire pour me donner des indications !
Il y a six ans, lors d’un massage, j’ai hurlé de douleur, avec l’impression que mon orteil gauche était cassé. Ai-je entendu le bon décodeur ? Toujours non. J’ai donné mon pouvoir personnel, ma force à d’autres thérapeutes, car même le corps médical ne croyait pas à ces douleurs. Il y a quelques semaines, la douleur devenait si horrible que j’ai demandé des analyses : trois fractures du pied et dégénération osseuse (la même que le scan de 2020). Le chirurgien orthopédiste m’a dit que c’était la vieillesse… à 53 ans ! Sérieusement ? Il m’a prise pour qui ? Je sais que mon corps a été empoisonné durant 12 ans avec les fameux implants Essure et que les produits sont toujours en circulation dans mon corps, même après un suivi avec une nutritionniste. En France, la chélation est interdite ! La semaine dernière, une femme de l’association qui aide les porteuses d’Essure avait exactement la même douleur au même orteil gauche. Coïncidence ?
Mon corps me parle, et je comprends de mieux en mieux son langage subtil. Je sais que tout ce que j’ai vécu dans ma chair, je l’ai expérimenté, et j’ai trouvé des solutions pour le réparer que je peux partager avec d’autres personnes ayant vécu la même chose. Et si cette souffrance était un choix de départ, lors de mon incarnation ? Ai-je fait le choix de vivre dans un corps physique de douleur ?
Est-ce que le passage du livre « Suis ton âme, elle connaît le chemin » de Virginie Bobée et Violette Germont sur nos deux choix d’incarnation est vrai ?
Dans le livre « Suis ton âme, elle connaît le chemin » de Virginie Bobée et Violette Germont, les auteurs expliquent que chaque âme a deux options principales lorsqu’il s’agit de s’incarner sur Terre :
Une vie d’apprentissage et de croissance : Ce chemin implique de choisir des expériences qui faciliteront l’apprentissage et la croissance spirituelle de l’âme. C’est un chemin souvent rempli de défis et de leçons qui aident l’âme à évoluer et à élargir sa compréhension et sa sagesse. Cette voie est généralement choisie par les âmes qui sont désireuses de faire progresser leur voyage spirituel et qui sont prêtes à affronter et à surmonter les difficultés pour leur plus grande croissance.
Une vie de service et d’assistance : La deuxième option est de s’incarner dans le but premier d’aider les autres et de contribuer au bien commun. Les âmes sur ce chemin choisissent souvent des rôles qui soutiennent, guérissent et élèvent d’autres êtres, ayant un impact positif significatif sur le monde. Ces âmes sont généralement animées par la compassion et un profond désir d’aider à l’évolution collective et au bien-être de l’humanité.
Les deux voies sont valables et honorables, reflétant la mission et le but uniques de l’âme. Le choix est fait en fonction de ce dont l’âme a besoin et souhaite accomplir dans son voyage terrestre.
Avec tout mon amour, Sandrine