La Nuit Noire de l’Âme : Ce Moment Où Tout Bascule


Réflexions / mardi, octobre 8th, 2024

« La nuit noire de l’âme est ce passage silencieux où l’âme se perd dans les ténèbres pour se retrouver dans la lumière. Ce n’est qu’en embrassant l’obscurité que l’on découvre la véritable clarté en soi. »

Il y a des périodes où l’on se sent fatigué.e, épuisé.e même, mais ce n’est pas juste une fatigue ordinaire. C’est un poids dans la poitrine, une sensation de vide qui s’installe sans crier gare. Ce qui nous faisait vibrer hier semble soudain sans saveur. Les certitudes s’effondrent, les émotions nous submergent ou, pire, on ne ressent plus rien.

Alors on se demande : Est-ce que c’est moi qui suis en train de me perdre ? Est-ce que je traverse autre chose que de la tristesse ?

Si ces questions vous effleurent, si vous avez cette impression que quelque chose en vous s’effondre sans que vous puissiez l’expliquer… alors peut-être que vous êtes en plein cœur de ce que l’on appelle la nuit noire de l’âme.

Quand la Vie Perd Son Sens

La nuit noire de l’âme ne prévient pas. Elle peut surgir après un deuil, une séparation, un échec, une trahison. Ou bien elle arrive sans raison apparente, comme si quelque chose en nous savait qu’il était temps de changer, même si nous, nous n’étions pas prêts.

C’est ce moment où l’on ne se reconnaît plus soi-même. Où l’on regarde le monde autour de nous et où l’on se sent étranger.e. Comme si quelque chose en nous avait cessé d’exister, mais sans savoir quoi.

J’ai moi-même traversé cette nuit noire de l’âme. C’est ce qui m’a poussée à écrire l’histoire d’Aiyana. À travers elle, j’ai voulu mettre en mots ce que l’on ressent lorsque tout s’effondre, lorsque l’on ne sait plus vers où avancer.

Aiyana, cette femme médecine Cherokee, a vécu cette traversée. Elle qui ressentait chaque murmure du vent, chaque chant des montagnes, s’est un jour retrouvée face à un silence glacial. Plus de guidance, plus de connexion, plus de sens.

Elle ne comprenait pas. Pourquoi ? Pourquoi maintenant ? Pourquoi elle ?

Si vous souhaitez découvrir son histoire complète, je l’ai partagée sur [Facebook] et [Instagram]. Parfois, lire les mots d’une autre âme qui a traversé ce passage peut mettre des mots sur ce que l’on vit.

Être entendu.e, sans qu’on cherche à réparer

Quand on traverse la nuit noire de l’âme, on ne veut pas entendre des conseils. On ne veut pas qu’on nous dise d’être fort.e, d’avoir la foi, que ça ira mieux demain.

Ce que l’on veut, c’est qu’on nous comprenne.

Alors si tu lis ces lignes et que quelque chose en toi reconnaît ce vide, sache ceci :

« Tu n’as rien à prouver. »
« Tu n’as pas à être quelqu’un d’autre, ni à te battre contre ce que tu ressens. »
« Tu traverses. Et c’est déjà immense. »

Est-ce que cela va s’arrêter ?

C’est souvent la question qu’on se pose dans cette nuit interminable. On voudrait une réponse, un délai, un signal nous disant que cela ne durera pas éternellement.

Aiyana ne l’a pas su tout de suite. Mais avec le temps, elle a remarqué que, certains jours, un souffle revenait. Un battement de cœur plus doux. Un rayon de soleil qui lui semblait un peu plus chaud.

Elle a appris que la lumière ne revient pas toujours d’un seul coup. Parfois, elle s’infiltre en nous, en silence.

Et c’est peut-être ce qu’il y a de plus précieux à retenir :
Même si tu ne la vois pas encore, la lumière est là.

🌿 Si tu ressens ce que je décris, viens lire l’histoire complète d’Aiyana sur [Facebook] ou [Instagram]. Peut-être qu’elle te parlera, ou peut-être qu’elle mettra des mots sur ce que tu traverses.

Tu n’es pas seul.e.

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